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Abstract

L’architecture est l’un des piliers majeurs des sociétés passées, présentes et futures. L’énoncé théorique, intitulé Les fruits d’une architecture symbiotique, frugale et résiliente s’interroge sur la capacité de l’architecture à estomper les différentes problématiques liées aux crises. La recherche se concentre sur trois axes : la symbiose entre l’environnement naturel et bâti, leur frugalité, et enfin leur résilience dans le temps. En observant les chantiers actuels, il est raisonnable d’éprouver une certaine inquiétude quant à la capacité des campus UNIL-EPFL à se développer et à évoluer de façon durable. Dorénavant, il serait judicieux d’établir une plus grande symbiose avec leur environnement naturel, d’être plus frugal et de favoriser une certaine résilience des différents éléments qui les composent. Un des plus anciens bâtiments universitaires, le Cubotron, est voué à être détruit pour être remplacé par un nouvel édifice « phare ». En se servant de son système constructif existant auquel il adjoint une extension, le projet propose une solution alternative. Il démontre ainsi la capacité du Cubotron à absorber différents programmes publics et académiques. Le projet tire parti de sa position centrale, entre les deux hautes écoles, pour renforcer son nouveau rôle fédérateur. Les espaces alentours, naturels et construits, les questions de mobilité sont intégrés dans la démarche qui vise à rétablir une continuité entre les deux campus et les communes environnantes.

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