Abstract

Cette proposition correspond à une première approche des modes d’habiter la mobilité urbaine à partir du couplage pratiques-représentations du temps de déplacement dans les transports en commun de l’agglomération grenobloise. De ce fait, plusieurs approches se concentrent récemment sur le déploiement d’activités dans les transports en commun (Frétigny, 2012 ; Cailly et Fourny, 2013). Au-delà de rendre compte des activités/situations observées dans les transports en commun, ce travail vise à analyser la dimension symbolique du temps de déplacement.Pour cela, la question centrale est de savoir comment les individus « habitent » les déplacements et les points de connexion des transports en commun en milieu urbain. L’étude a été réalisée à partir d’une méthodologie comprenant un protocole d’observation, des entretiens semi-directifs ainsi qu’un focus group auprès des habitants de la métropole grenobloise.

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