Abstract

La capacité de la lumière ralentie pour créer des lignes de retard tout-optiques a été fortement remise en question par des évidences expérimentales et le renforcement de nos connaissances théoriques. Nous montrerons que de nouvelles approches implantables dans les fibres optiques, à la fois conceptuellement plus simples et considérablement plus performantes, offrent des perspectives beaucoup plus prometteuses. Par contre, la lumière lente offre encore un énorme intérêt pour le renforcement des interactions entre lumière et matière, dans le but de réaliser des dispositifs photoniques plus compacts et plus efficaces. Ces recherches ont par ailleurs démontré qu'il n'existe pas un type de lumière lente, mais deux aux propriétés et aux usages radicalement différents. Nous expliquerons et illustrerons ces différences à l'aide de résultats fondamentaux récents simples et démonstratifs, soulignant la vigueur de la recherche dans ce domaine encore en plein défrichement.

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