Pensée globale, construction locale: stratégies d’adaptation d’une culture du bâti individualiste aux contraintes communautaires de la vie contemporaine et du développement durable
Une île perdue dans le nord de l’océan Atlantique. Grindavik, un petit village situé dans le sud-ouest de cette île, sur la péninsule du Reykjanes. Un climat marqué par des vents forts, une météo imprévisible et une énergie géothermique présente dans tout le sous-sol. Une économie locale basée sur la pêche depuis plus d’un siècle. Une communauté qui, depuis dix ans, augmente de 3% en moyenne chaque année. Une culture fortement imprégnée d’idéaux individualistes, et où la plupart des familles rêvent de vivre dans une maison sur une grande parcelle privée. Dans un tel contexte, comment Grindavik peut-il s’urbaniser de manière durable ? Le projet vise à démontrer une approche du bâti qui permette à cette localité de se développer tout en respectant ses mœurs et en diminuant l’impact écologique. Il met en équilibre la qualité des espaces de vie privés et communautaires avec les contraintes du logement planifié. Il insère les habitations dans le sol en minimisant l’impact aux champs de lave présents. Il fait usage du béton préfabriqué pour proposer une nouvelle approche de la construction vernaculaire. Finalement, il remplace par moment le béton, seul matériau structurel présent sur l’île, par du bois local.
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