Frossard, Line2016-02-012016-02-012016-02-012014https://infoscience.epfl.ch/handle/20.500.14299/122998Ce travail propose un regard sur les traces laissées dans le paysage alpin par l'exploitation hydroélectrique. L'évolution des technologies rend obsolètes certaines centrales qui sont centenaires aujourd'hui. Que faire de ce patrimoine et comment le valoriser? Je propose une réaffectation par le tourisme doux. Il s'agit d'un itinéraire de randonnée permettant la continuité du lien créé par la conduite forcée dans le paysage entre le village de Fully et sa montagne. Un lien social à réinventer. Que faut-il garder? Faire de la montagne un musée ou proposer une nouvelle dynamique? Le projet est développé sur une partie spécifique de la randonnée: le tunnel. Chemin souterrain, creusé jadis dans la roche pour la conduite forcée. C'est le trait d'union obscur et particulier entre deux mondes, la vallée du Rhône et la montagne de Fully. Le randonneur, comme l'eau, franchit ce passage, au travers d'une masse rocheuse. Une expérience où l'eau, le minéral, la lumière, le son, le paysage donnent à l'Homme la possibilité de transiter entre deux univers, tout en ayant la possibilité de s'y préparer pas à pas. L'eau anime le parcours, elle accompagne le marcheur vers deux réalités de la vie alpine, la vie d'en bas et la vie d'en haut.urbanisme et aménagement du territoiretunnel ou ouvrage souterrainintervention paysagère et environnementaleréhabilitationrénovation, transformationarchitecture paysagère, environnement, protection des siteshistoire, réhabilitation du domaine bâtibétoncampagnemontagne, forêtlacfleuve, rivièreFullySorniotSuisse romandeValaisSuisseEuropeUn lien réactualisé, révélé par l'eau. Sur la trace de la conduite forcée: un tunnel. Une transition entre le haut et le bas, entre la montagne et l'Hommestudent work::master thesis