Gutscher, Salome2008-09-192008-09-192008-09-192007https://infoscience.epfl.ch/handle/20.500.14299/29641„Kehrt das Grandhotel zurück? Kann es noch einmal die verschwenderischen Hallen, die vergoldeten Säle, Bälle und Redouten und nächtlichen Soupers, die schläfrig verbummelten Teenachmittage am verstimmten Piano geben? (...) Für den kurzen Zauber kann man keine Villa bauen oder eigene Dienstboten mühsam erziehen. Der kurze Zauber verlangt das Grandhotel...“ [Die Zeit, 2006] Depuis plus de 150 ans, le village de St. Moritz a été formé et dominé par l'hôtellerie et le tourisme de luxe. Sur les 5'600 hab. du village, 250'000 visiteurs saisonniers s'ajoutent le temps de quelques mois. Les énormes volumes et infrastructures de tourisme nécessaires, se transforment en "taches noires" inoccupées dans le tissu urbain et inaccessibles à la population locale pendant la saison creuse. Les espaces publics sociaux, qui étaient un élément caractéristique et important de St. Moritz, depuis la Belle Epoque se sont aujourd'hui transformés peu à peu en enclaves privées. Je propose donc la construction d'un nouveau grand hôtel qui réunit les deux phénomènes mentionnés ci-dessus, soit la fluctuation des saisons, la flexibilité programmatique et les espaces publics, d'une manière plus durable et accessible pour le village. Le programme classique du grand hôtel est complété par une série de programmes publics et semi-publics qui sont partiellement ouverts et accessibles pendant toute l'année.hôtellerie et tourismehôtel, motelrestaurantcaféconstruction après démolitionarchitecture, construction, technologie, génie civilsociologie, sciences socialesbétonvillagemontagne, forêtSaint MoritzVia SerlasSuisse romancheGrisonsSuisseEuropeHôtel Fasch da Glüm à St. Moritz (Grisons)student work::master thesis