Baur, RaffaelDietz, DieterPedrazzini, YvesChan, Garbo2018-10-232018-10-232018-10-232018https://infoscience.epfl.ch/handle/20.500.14299/149282Temps. Transformations. Mouvement. Le mouvement de la transformation dans le temps qui passe. A la fois rapide, à la fois lent, comme la société elle-même. D’un côté, le peuple: ses nostalgies, ses souvenirs, ses sentiments et sa sensibilité envers le contexte donné, prédéfini. De l’autre côté, la technologie et la vitesse du développement; la politique et ses idées de grandeur, accompagnée de la vision économique à court terme focalisée sur toute chose dénombrable. A leur rencontre: Shiqi. A la différence de nombreux autres quartiers anciens de villes chinoises en plein essor, Shiqi a évité la tabula rasa grâce à l’adoption d’une législation de protection du patrimoine en 2008. Néanmoins, aucune transformation de cet ancien centre-ville en lieu vivant et familier de son passé n’a jamais été entreprise. Shiqi est laissé à son déclin lent, gardien des mémoires d’un passé idéalisé, sans pouvoir échapper à l’infiltration contrastée de la contemporanéité. Dans la fluctuation entre la permanence et l’éphémère, la narration d’un fragment du vieux Shiqi examine la capacité d’une couche structurelle minimale à rétablir l’usage et l’appropriation de l’endroit. Travaillant autant avec la croissance que la détérioration, elle cherche une transformation dans et par l’infra-ordinaire, un laisser-faire structuré, répondant aux racines pour ce qui s’y inscrira.architecture paysagère, environnement, protection des sitesAsiebriqueChineconstruction éphémèreGuangdongîlemétalpériphérie urbaine, banlieuepréfabriquérénovation, transformationrestructuration urbaineShiqi qusociologie, sciences socialesTaian Roadurbanisme et aménagement du territoirevernaculairevilleZhongshanFragments de Shiqistudent work::master thesis