Viganò, PaolaCogato Lanza, ElenaVillaret, MarineGarlatti, Marina2021-10-192021-10-192021-10-192021https://infoscience.epfl.ch/handle/20.500.14299/182254La potentialité de notre approche cartographique permet de se concentrer sur une expression de la narration du territoire, de sa complexité paysagère au sein d’une épaisse cartographie dense et descriptive, mais aussi de la notion de temps. Révéler la signification idéologique du paysage vise à retracer la relation entre l’exercice du pouvoir assujettissant et la représentation du vivant en tant que Sujet. Les interventions doivent être régies à échelle locale et du vivant, suivant un tracé et un but déterministe, rationnel. Il s’agit donc de rendre à la Venoge sa phénoménalité, son flux dansant, l’amplitude de ses comportements et de redéfinir les relations entre les objets de pouvoir et elle-même. Nous tiendrons compte, par une simulation 3D d’écoulement fluvial sur la topographie, des possibles scénarios qui existent. Le projet sera alors un nouveau scénario de coexistence extrême, de négociation pour l’existence de la Venoge dans sa phénoménalité. La stratégie territoriale s’aborde par la déconcentration des flux problématiques. Choisir l’eau comme fil conducteur du projet relève du désir profond de relier la ville avec la nature. Le projet intervient à la fois dans une réflexion biopolitique et territoriale, mais également dans un récit à taille humaine, un lieu de vie qui n’est plus lié à la sécurisation, qui tient compte de la spatio-temporalité de la Venoge, une approche qui devient révélatrice et productive, mettant en lumière les contradictions invisibles du territoire assujetti.urbanisme et aménagement du territoireaménagement régional ou nationalintervention paysagère et environnementalerestaurationaménagement du territoire, urbanisme, insertion urbainearchitecture paysagère, environnement, protection des siteseau, fluxfleuve, rivièrede l’Isle à Saint-SulpiceSuisse romandeVaudSuisseEuropeRadical Venobiastudent work::master thesis