Graf, FranzCogato Lanza, ElenaSavio, StéphanieBosman, Axelle2022-11-112022-11-112022-11-112022https://infoscience.epfl.ch/handle/20.500.14299/192213De 1960 à 1990, la Roumanie communiste voit son environnement bâti exploser. Les murs, les salles de bain, les appartements et les bâtiments sont standardisés et répliqués dans un manteau uniforme de béton et de briques. Si des quartiers entiers fleurissent en un temps record, la qualité de vie qu’ils proposent est en baisse. En cause la pression politique de construire toujours plus avec un budget maigrissant. Les intérieurs sont peu isolés, les chambres insuffisantes alors que des coupures de chauffage hivernales et un exode ingérable vers les villes se font ressentir. La sortie du communisme aura deux conséquences majeures : d’abord, chaque résident se voit accorder des droits de propriété, ensuite, un programme généralisé de rénovation thermique est imposé aux blocs ne respectant pas les normes de l’UE. Aujourd’hui, les habitants sont prêts à déménager à des kilomètres pour trouver une meilleure qualité de vie tandis que les immeubles d’époque sont recouverts d’une couche d’isolant qui efface toute trace de recherche architecturale propre au lieu. Le projet propose une alternative : une étude visant à démontrer le potentiel ignoré de ces blocs d’habitation à travers une rénovation thermique personnalisée ainsi que diverses transformations typologiques, développées en lien étroit avec les utilisateurs via un catalogue ayant pour but de rehausser la qualité de vie, l’appropriation et la mixité du lieu. L’application reste généralisable, réplicable, sans devenir impersonnelle.habitationlogement individuellogement individuel groupérénovation, transformationhistoire, réhabilitation du domaine bâtisociologie, sciences socialesboisbriquevégétationvillefleuve, rivièreBucarestBloc M7Suisse romandeRoumanieEuropeRénovation à la carte - une réhabilitation personnalisée du bloc communiste, Bucareststudent work::master thesis