Taillieu, Jo FrançoisPattaroni, LucaVinh, LinhGomez, Miguel2021-10-192021-10-192021-10-192021https://infoscience.epfl.ch/handle/20.500.14299/182263La scène Queer genevoise a vécu sa période d’effervescence dans les années 80-90 mais celle-ci tend à disparaitre aujourd’hui. Situé sur l’emplacement de l’unique squat LGBTQ* maintenant démoli, le projet s’insère comme symbole de la culture « Queer « genevoise. Favorisant ainsi une visibilité positive, il se place également comme « safe-space » pour cette communauté. L’idée de fournir un lieu d’accueil, de soutien et de protection est la raison qui a mené au développement de typologies d’habitations communautaires. Le projet propose une mixité de programmes afin de vivre l’entre-soi et favoriser la rencontre. Ainsi, des locaux pour l’implantation d’associations luttant pour l’inclusivité cohabitent avec du logement, à plus ou moins long terme, et des espaces collectifs. La volonté d’épaissir la limite entre l’espace public ouvert à la ville et celui privé, lieu du repli et de l’intime, a mené à développer une multitude d’espaces interstitiels où la vie en communauté se crée. Cela se développe par succession de seuils, mais aussi par une non-permanence programmatique et une interpénétration de codes urbains dans l’espace domestique. Ainsi le projet propose différentes manières d’habiter pour des personnes désirant partager un même mode de vie.habitationhabitat collectifnouvelle constructionarchitecture, construction, technologie, génie civilsociologie, sciences socialesbétonbriquemétalmatériau compositevillefricheGenèvePrévost-MartinSuisse romandeSuisseEurope« Queer Space ». Des seuils pour un mode de vie inclusif à Genèvestudent work::master thesis