Abstract

Force est de constater que la notion de « rythme », tout aussi polysémique et impalpable soit-elle, parvient malgré tout à polariser des discours provenant de disciplines aussi diverses que la géographie, la littérature, la musique, la danse, la sociologie ou l’économie. Face à la volonté de poursuivre ce dialogue, les conditions nécessaires à la construction d’une réflexion commune et à la production d’un « savoir indiscipliné » peuvent-elles être identifiées ? A la lumière du séminaire « Rythmes urbains » – organisé à Lausanne du 8 au 10 novembre 2017 –, nous proposons d’entamer une réflexion visant à saisir la manière dont les disciplines se sont croisées pour ainsi révéler, entre temps et espace, la valeur épistémologique de la notion de rythme.

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