Abstract

Cette étude vise à déterminer l'influence du degré de discrétisation spatiale sur la précision d'un modèle hydrologique semi-conceptuel. L'influence du nombre de stations météorologiques utilisées pour générer les données spatialisées en entrée du modèle est également investiguée. Dans le cadre d'une application sur un bassin-versant alpin, il est montré que la précision du modèle augmente avec le nombre de sous-bassins-versants utilisés pour discrétiser spatialement le basin. De même, l'erreur de prédiction du modèle diminue avec le nombre de stations météorologiques utilisées pour générer les entrées.

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