Abstract

Lors de recherches de sources de pollution dans les rivières, les chercheurs sont amenés à comparer plusieurs points de données pour déterminer si une augmentation de concentration de polluant (dans notre cas des polychlorobiphényls) apparaît ou non entre ces points. Cette différence de concentration pourrait être due aux différences de conditions environnementales entre les points échantillonnés. Cette recherche a pour but de déterminer si la vitesse est un facteur environnemental prépondérant sur l’absorption des polluants entre deux points échantillonnés. La vitesse est étudiée à l’aide de canaux de vitesses différentes et de PRC (Performance Reference Compound) qui se dissipent de la même manière que les polluants sont absorbés. La différence entre les capteurs passifs en LDPE et en PDMS est étudiée. Différents modèles empiriques sont testés pour calculer un taux d’échantillonnage et par la suite essayer de corriger les concentrations des polluants en fonction d’un point échantillonné à l’aide des valeurs du taux d’échantillonnage. Une campagne est aussi réalisée pour confirmer (suite à une précédente campagne) si la STEP est une source de rejet de PCB. Cette recherche a mené à la conclusion que la vitesse influence l’absorption et la dissipation des polluants mais qu’un modèle pour déterminer le taux d’échantillonnage doit être réalisé pour le LDPE. Les observations réalisées sur la STEP ont amené à conclure qu’elle est en toute vraisemblance une source de pollution de PCB.

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