Abstract

Genève, petite ville mondiale connaissant une importante croissance économique et démographique, est ici envisagée par le biais d’une carte sur la répartition des résidents anglo-saxons et portugais du canton. Les logiques spatiales très différentes de ces deux populations témoignent des manifestations dans l’espace urbain de la mondialisation. Elles mettent Genève face à un risque de segmentation socio-spatiale, aucunement inéluctable mais autrement plus dangereux pour son développement que la densification, bouc-émissaire des difficultés d’aménagement que rencontre l’agglomération.

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