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Abstract

Les multiples conséquences de l’étalement urbain contribuent à mettre en cause la répartition des zones à bâtir. Dimensionnées à la fin des Trente Glorieuses, elles ne sont plus forcément adaptées aux évolutions de la société. Leur modification est cependant loin d’être simple : elle se heurte à des représentations idéalisées de la ville, de l’habitat et du paysage, qui témoignent d’une vision segmentée de la gestion du territoire. Le projet « Walstadt Bremer » - qui propose de loger 10 000 habitants à proximité du centre de Berne en urbanisant un secteur boisé - est à ce titre révélateur.

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