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Abstract

La pandémie a réduit les activités prévues au temple de Kom Ombo en enchaînant les épigraphistes au sol européen. Restaient heureusement les membres de l’équipe résidant en Égypte. Ali Abdelhalim Ali (univ. de Ayn Chams), soutenu par Mohamed Abdu (IFAO) et Islam Al-wakeel (univ. de Ayn Chams), a poursuivi la construction des banquettes du musée épigraphique de plein air ; en l’absence des échafaudages utiles, Gaël Pollin (IFAO) a procédé au relevé photographique complet de monuments d’élévation réduite, le mammisi et la chapelle de Caracalla. 2 Par ailleurs, le programme épigraphique originel s’est élargi et comprend désormais un volet architectural, placé sous la responsabilité d’Aurélie Terrier, qui, dans un premier temps, a tiré un très heureux parti d’une documentation exceptionnelle relative aux premiers travaux réalisés au temple de Kom Ombo à la fin du xixe siècle et présente les résultats de son étude.

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